BIOGRAPHIE
Originaire de Brest, Claude Bathany a longtemps vécu en Basse-Bretagne puis à Paris avant de s'établir à Rennes à l'aube du troisième millénaire.
De tout temps passionné de littérature sous tous les genres (plutôt noirs) et de musique (plutôt rock), il commence par écrire des textes poétiques qui ont l'élégance de s'effondrer sur eux-mêmes sous le poids de leur propre médiocrité.
Après une carrière très en retrait -mais non dépourvue de panache- dans le domaine technique et informatique, il se lance sur le tard dans l'écriture de polars avec deux opus édités à ce jour Last Exit To Brest et Country Blues aux éditions Métailié, puis en format poche chez Points Seuil.
Courant 2010, il collabore avec la compagnie théâtrale rennaise Udre-Olik, coécrivant avec l'auteur Alain Fleury le spectacle Un bon coup dans la gueule, et rédige quelques textes noirs pour des lectures de la compagnie : Bip-Bip Lecture.
En même temps, il compose des chansons à la thématique spécifiquement polar. Dans le monde de la musique, une pétition circule pour que l'expérience s'arrête là.
En 2011, une schizophrénie mal diagnostiquée le pousse brusquement à écrire pour la jeunesse. Cette année-là, un album, Princesses de Brocéliande, paraît chez Nathan et un autre, La princesse qui chantait comme une casserole, chez Gargantua. Il récidive en 2012 avec la parution chez Nathan de Pirates des sept mers. Le corps enseignant s'en émeut mais la levée de bouclier vient surtout du monde pédiatrique. Il passe outre et un nouveau recueil, 5 chevaliers sans peur et sans reproche, sort en 2014 chez Locus Solus accompagné d'une réédition de La princesse qui chantait comme une casserole.
Il entre ensuite dans un orgueilleux silence éditorial dont il ne ressort qu'en 2018 pour des raisons militantes. En effet, brûlot implacable contre la pêche à la mouche, le chanvre indien et la bourrée auvergnate, il publie cette année-là aux éditions Des ronds dans l'O, dans la série Pirate ! l'album Le pirate qui avait le mal de mer. Alors qu'on pouvait espérer que ce ne soit là qu'une brève rechute sans lendemain, il sort en octobre 2019 aux éditions Goater, le recueil Les âmes déglinguées, rassemblant quatorze nouvelles noires qui -même s'il s'en défend maladroitement- sont autant de misérables autoportraits, crachotements indignes postillonnés à la face de notre commune humanité.
Ultime métastase démontrant qu'en matière de malfaisance, cet animal en a encore sous le pied, le voici faisant paraître le 5 mai 2023 aux éditions Métailié, un nouveau roman, Desperado sur le rivage, avec la prétention de se dédouaner au motif que cette fois-ci il ne s'agirait pas stricto sensu d'un polar.
Assertion à vérifier de toute urgence...
De tout temps passionné de littérature sous tous les genres (plutôt noirs) et de musique (plutôt rock), il commence par écrire des textes poétiques qui ont l'élégance de s'effondrer sur eux-mêmes sous le poids de leur propre médiocrité.
Après une carrière très en retrait -mais non dépourvue de panache- dans le domaine technique et informatique, il se lance sur le tard dans l'écriture de polars avec deux opus édités à ce jour Last Exit To Brest et Country Blues aux éditions Métailié, puis en format poche chez Points Seuil.
Courant 2010, il collabore avec la compagnie théâtrale rennaise Udre-Olik, coécrivant avec l'auteur Alain Fleury le spectacle Un bon coup dans la gueule, et rédige quelques textes noirs pour des lectures de la compagnie : Bip-Bip Lecture.
En même temps, il compose des chansons à la thématique spécifiquement polar. Dans le monde de la musique, une pétition circule pour que l'expérience s'arrête là.
En 2011, une schizophrénie mal diagnostiquée le pousse brusquement à écrire pour la jeunesse. Cette année-là, un album, Princesses de Brocéliande, paraît chez Nathan et un autre, La princesse qui chantait comme une casserole, chez Gargantua. Il récidive en 2012 avec la parution chez Nathan de Pirates des sept mers. Le corps enseignant s'en émeut mais la levée de bouclier vient surtout du monde pédiatrique. Il passe outre et un nouveau recueil, 5 chevaliers sans peur et sans reproche, sort en 2014 chez Locus Solus accompagné d'une réédition de La princesse qui chantait comme une casserole.
Il entre ensuite dans un orgueilleux silence éditorial dont il ne ressort qu'en 2018 pour des raisons militantes. En effet, brûlot implacable contre la pêche à la mouche, le chanvre indien et la bourrée auvergnate, il publie cette année-là aux éditions Des ronds dans l'O, dans la série Pirate ! l'album Le pirate qui avait le mal de mer. Alors qu'on pouvait espérer que ce ne soit là qu'une brève rechute sans lendemain, il sort en octobre 2019 aux éditions Goater, le recueil Les âmes déglinguées, rassemblant quatorze nouvelles noires qui -même s'il s'en défend maladroitement- sont autant de misérables autoportraits, crachotements indignes postillonnés à la face de notre commune humanité.
Ultime métastase démontrant qu'en matière de malfaisance, cet animal en a encore sous le pied, le voici faisant paraître le 5 mai 2023 aux éditions Métailié, un nouveau roman, Desperado sur le rivage, avec la prétention de se dédouaner au motif que cette fois-ci il ne s'agirait pas stricto sensu d'un polar.
Assertion à vérifier de toute urgence...